Dans le shop

Il reste 1 aquarelle et des fanzines en vente sur le shop.

Les martiens

Ces derniers temps j’ai été très occupé à remettre grandpapier à jour. J’ai fait du code comme à m’en dégouter.

Mais c’est que le site se fait vieux. On fête dignement une cinquième année et plus de 1000 albums de bande dessinée en lecture gratuite. Et puis surtout grandpapier a eu son 5e 24h qui a eu lieu le week-end passé et pour l’occasion j’ai eu envie (envie qui remonte au début de l’été quand même) de lui refaire une jeunesse.

J’ai donc pris mon meilleur copier-coller et suis allé pêcher ce qui se fait de plus récent (et que j’arrive encore à comprendre) en mise en page responsive et de jquery récent (vous ne savez pas de quoi je parle, c’est pas grave). Après quelques essais, pas mal d’heure de boulot et un minimum de user testing la nouvelle mouture a été balancé en ligne.

Au final grandpapier offre une interface qui s’adapte – enfin devrait s’adapter – aux différentes tailles d’écrans, car n’ayant pas de panoplie de smartphone et tablettes pour tester tous les cas de figure, je prie très fort pour que ça soit le cas. Mais enfin ça a l’air de marcher. Le site essaie également d’être plus léger et réactif, ce qui était et restera son point faible. Il offre également un lecteur plus vif, qu’on peut manipuler avec les doigts : sur écran, sur clavier, ou sur souris.

Et puis l’autre week-end, comme je disais plus haut, c’était encore un autre 24h bd qui ont eu lieu comme à chaque fois au travers du site grandpapier. On est content, on a eu une belle participation et de la qualité. Dans le genre des trucs en plus qu’on a rajouté à GP, on offre la possibilité d’imprimer les récits de 24 pages issu de l’événement. C’est en fait la même technologie (le gros mot) que le site 8p.cx dont j’ai déjà parlé. On tentra certainement d’étendre cette possibilité à d’autre récits un peu plus tard (et quand l’envie de scanner du code html pendant des heures m’amusera à nouveau).

En attendant allez lire ce qui a été produit et surtout mon récit : les martiens. Un récit qui m’a couté cher en énergie nerveuse et physique, mais j’n suis arrivé à bout.